Entretien avec Jean-Pierre Cabestan

Jean-Pierre Cabestan est directeur de recherche au CNRS. Professeur au Département de science politique de l’Université baptiste de Hong Kong jusqu’en 2021, il a rejoint l’IFRAE le 1er septembre 2021.

Jean-Pierre Cabestan est directeur de recherche au CNRS rattaché à l’Institut de recherche français sr l’Asie de l’Est (IFRAE) de l’INALCO. Il était de 2007 à 2021 professeur au Département de science politique de l’Université baptiste de Hong Kong qu’il a dirigé de 2007 à 2018. Il est aussi chercheur associé à Asia Centre, Paris ainsi qu’au Centre d’étude français sur la Chine contemporaine de Hong Kong. Nommé officier des Palmes Académiques en 2018, il est depuis 2019 membre correspondant de l’Académie des sciences d’outre-mer (ASOM).

Il a été de 2003 à 2007, rattaché à l’UMR de droit comparé de l’Université de Paris 1. Il a dirigé de 1998 à 2003 le Centre d’études français sur la Chine contemporaine (CEFC) de Hong Kong ainsi que ses publications, Perspectives chinoises et China Perspectives. Il a établi en 1994 et a dirigé jusqu’en 1998 l’Antenne de Taipei du CEFC. Recruté au CNRS en 1983, il a été alors affecté à l’Institut de recherche comparative sur les institutions et le droit, situé à Ivry-sur-Seine. En 1990-1991, il a enseigné la politique chinoise à la School of Oriental and African Studies de l’Université de Londres.

Ses principaux thèmes de recherche incluent les réformes politiques, institutionnelles et juridiques en Chine populaire, la politique étrangère et de sécurité chinoise, les relations Chine-Taiwan, le système politique taiwanais et les relations Chine – Afrique.

Que représente l’IFRAE pour vous ?

“Un nouveau centre de recherche très riche et très dynamique dans lequel les possibilités de recherches pluridisciplinaires sur l’Asie orientale sont multiples.”

Souhaiteriez-vous adresser quelques mots aux membres de l’IFRAE ?

“Merci de votre accueil. je suis désolé de ne pouvoir être avec vous à Paris mais je serai heureux de prendre part par visioconférence à la prochaine assemblée générale de l’IFRAE et ainsi de mieux faire connaissance avec ceux d’entre vous que je n’ai pas encore rencontrés.”